Préservation des ressources en eau

Diagnostic de réseau d'arrosage

 

Préservation des ressources en eau

Etude de récupération et de stockage des eaux

 

Préservation des ressources en eau

Maitrise de la qualité des eaux d’irrigation

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PRESERVATION DES RESSOURCES EN EAU

Le contrôle technique intervient en phase de projet et durant l’exécution des travaux. Il concerne les ouvrages d’infrastructure et le complexe formant la couche de jeu et le revêtement.

Les normes NF P90-112 « Sols sportifs – Terrains de grands jeux en gazon synthétique – Conditions de réalisation » et NF EN 15330-1 « Sols sportifs – Surfaces en gazon synthétique et surfaces en textile aiguilleté principalement destinées à l’usage en extérieur… », les Règlements fédéraux, et le CCTP, constituent les principaux référentiels de contrôle technique.

A QUOI SERT-IL ?

Il contribue à la prévention des différents aléas techniques susceptibles d’être rencontrés dans la réalisation des ouvrages, et de contrôler leur solidité et leur pérennité. Le contrôle technique est indispensable pour s’assurer du respect des critères de performances sportives et de la sécurité des utilisateurs. Enfin, le contrôle technique permet de vérifier la conformité aux référentiels en vigueur (normes, textes législatifs et règlementaires, CCTG, règlements fédéraux, etc.).

LES OBLIGATIONS DU CONTRÔLE TECHNIQUE

 

  • IMPARTIALITE.
    Le gérant et le personnel de NOVAREA agissent avec impartialité et sans aucun lien de nature à porter atteinte à leur indépendance vis-à-vis des autres acteurs de la construction.
  • RESPONSABILITE.
    Le contrôleur technique est, dans la limite de sa mission, tenu de la responsabilité des constructeurs. Il est admis cependant que cette responsabilité ne vise que la garantie décennale à l’exclusion de la garantie de bon fonctionnement.
  • GARANTIE.
    La garantie n’est due que si l’on peut reprocher un manquement (même présumé) à une obligation impliquant le contrôle de la solidité ou l’impropriété à destination de l’ouvrage.

Diagnostic de réseau d’arrosage

Dans une enceinte sportive dotée de tribunes de grande hauteur et proches du terrain, l’ombre portée constitue le premier facteur de déficience agronomique à partir du début de l’automne et durant toute la période hivernale.

Répondre aux standards d’exigences des terrains de haut-niveau impose l’emploi de dispositifs de compensation du déficit en lumière naturelle par un éclairement artificiel.

En quoi consiste le diagnostic de réseau d’arrosage ?

 

La vitesse de photosynthèse, et la quantité de matière sèche produite, sont prioritairement déterminés par le nombre de photons de lumière reçus par la plante dans le PAR. 

Ce critère est évalué à partir du PPFD (Photosynthetic Photon Flux Density, exprimé en µmole.m-2.s-1). Au point de compensation (Ic), l’intensité lumineuse équilibre les pertes du végétal par respiration. Au-delà, l’intensité lumineuse génère un gain de matière vivante, jusqu’à un seuil de saturation (Is).

Les besoins sont calculés sur la base du seuil d’éclairement minimal requis pour le type de graminées considéré en fonction des objectifs de qualité à atteindre.

Le calepinage des zones correspond à la surface unitaire d’éclairement d’un modèle commercial de rampes tenant compte du flux photonique déclaré (PPFD) de ses lampes, du nombre de lampes, de la surface et de l’homogénéité d’éclairement, etc…

Le dimensionnement doit tenir compte du temps de couverture effectif projeté.

Les étapes du diagnostic de réseau d’arrosage :

1. Etat des lieux
  • Etude d’éclairement naturel
  • Bilan de puissance de l’enceinte
  • Inventaire des contraintes techniques d’installation
  • Revue des contraintes logistiques (stockage, accessibilité, etc.)
  • Prise en compte des objectifs d’exploitation
  • Revue des moyens techniques et humains
2. Conception d’installation
  • Calcul des besoins d’éclairement
  • Dimensionnement
  • Détermination des sujétions de raccordements
  • Intégration des équipements associés
  • Consolidation budgétaire d’investissement
  3. Projection d’exploitation
  • Estimation des consommations prévisionnelles
  • Elaboration de scénarios d’exploitation
  • Organisation
  • Sujétions de maintenance
  • Consolidation budgétaire d’exploitation
 4. Suivi d’exploitation
  • Accompagnement au monitoring
  • Evaluation des performances
  • Bilan de consommation
  • Ajustement des pratiques

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Etude de récupération et de stockage des eaux

L’installation de dispositifs de chauffage de sol s’est imposée comme une nécessité pour satisfaire aux exigences des pelouses de haut niveau. Leur emploi s’est démocratisé selon deux modalités de gestion possibles :

  • Protection ponctuelle (fonctionnement par intermittence) contre la neige, la grêle et à l’égard du gel.
  • Régulation thermique perpétuelle (fonctionnement en continue) : Maintien du gazon en croissance permanente pour permettre la régénération du tapis végétal endommagé, génération d’un effet synergique avec les appoints en lumière artificielle dont les effets sont démultipliés par le maintien d’une température de sol minimale.

Ces dispositifs contribuent au respect du calendrier sportif, à l’amélioration du rendu esthétique du tapis végétal en période hivernale, et à un accroissement sensible de la qualité des performances sportives et de sécurité des joueurs.

A quoi servent les études de récupération et de stockage des eaux ?

 

L’échelle d’études comprend deux niveaux :

  • Le climat local
  • Les spécificités climatiques dans l’enceinte

Sur le plan local, les données élémentaires concernent : la température journalière minimale, le nombre de jour de gel, le nombre de jour de couverture neigeuse (sur au minimum les 10 dernières années).

Au niveau de l’enceinte, les paramètres en prendre en compte comprennent :

  • L’éclairement et/ou les ombres projetées.
  • La convection naturelle
  • Les couloirs de vents

Les données intra-enceinte peuvent être obtenues par relevés manuels, par enregistrements à partir de stations météorologiques implantées sur la pelouse mais également par inspection thermique au moyen d’un drone (exemples ci-contre).

Ces informations permettent d’optimiser la conception et l’exploitation (nécessité de sectorisation, organisation des secteurs, positionnement des sondes de régulation et de la station météorologique le cas échéant).

L’ensemble des données servira de base au dimensionnement de l’installation : puissance de chauffe maximale et moyenne, nombre de jours de chauffage (selon température de consigne), consommation prévisionnelle, etc. …

Les étapes d’une étude de récupération et de stockage des eaux :

1. Etat des lieux
  • Etude climatique
  • Bilan de puissance de l’enceinte
  • Inventaire des contraintes techniques d’installation
  • Revue des contraintes logistiques d’installation
  • Prise en compte des objectifs d’exploitation
  • Revue des moyens techniques et humains
2. Conception d’installation
  • Estimation des besoins calorifiques
  • Dimensionnement
  • Détermination des sujétions de raccordements
  • Intégration des équipements associés
  • Consolidation budgétaire d’investissement
  3. Projection d’exploitation
  • Estimation des consommations prévisionnelles
  • Elaboration de scenarios d’exploitation
  • Sujétions de maintenance et de régulation
  • Consolidation budgétaire d’exploitation
 4. Suivi d’exploitation
  • Accompagnement au monitoring
  • Evaluation des performances
  • Bilan de consommation
  • Ajustement des pratiques

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Maîtrise de la qualité des eaux d’irrigation

 

La ventilation aérienne du gazon constitue un moyen pertinent d’action prophylactique par ses multiples rôles :

  • Eliminer le plus rapidement possible l’eau en surface des brins, notamment la rosée, en accélérant leur vitesse de séchage afin de limiter le potentiel de développement des maladies fongiques et leur dissémination par les opérations mécaniques
  • Refroidir le végétal par l’effet adiabatique : en présence de chaleur, l’eau s’évapore en prélevant des calories à la feuille, et engendre son refroidissement.
  • Homogénéiser l’humidité relative de l’air : Les différences d’hygrométrie entre les zones ensoleillées et celles ombragées sont très marquées. Le brassage de l’air permet de réduire ce différentiel et de diminuer l’humidité relative de l’air.
  • Assécher la surface du sol : La ventilation génère un flux d’air qui permet de réduire l’humidité en surface du sol en accélérant l’évaporation de l’eau. Cette situation améliore la qualité des opérations mécaniques telles que la tonte, permet de réduire le collage au sol des feuilles les plus externes en présence d’un feutre gras, et atténue la déformabilité de la surface.

Les étapes de maîtrise de la qualité des eaux d’irrigation : 

1. Etat des lieux
  • Etude climatique
  • Inventaire des contraintes techniques d’installation
  • Revue des contraintes logistiques d’installation
  • Prise en compte des objectifs d’exploitation
  • Revue des moyens techniques et humains
2. Conception d’installation
  • Estimation des besoins en ventilation
  • Dimensionnement
  • Détermination des sujétions de raccordements
  • Intégration des équipements associés
  • Consolidation budgétaire d’investissement
  3. Projection d’exploitation
  • Estimation des consommations prévisionnelles
  • Elaboration de scenarios d’exploitation
  • Sujétions de maintenance et de régulation
  • Consolidation budgétaire d’exploitation
 4. Suivi d’exploitation
  • Accompagnement au monitoring
  • Evaluation des performances
  • Bilan de consommation
  • Ajustement des pratiques

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